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Tellement de larmes sur le bitume

12 avril 2020

Sans toi, en duo avec elbazsophia

Je peu pas poser sans frissonner, vibrer, rap électrique, l'émotion m' habite comme on habite ça dernière demeure, sans toi je meurt, pleure, crie, prière sincère,  misère d' une vie ou l' enfer s' invite sur terre, plus de repère sans toi, je ne suis qu une ombre dans une ombre, je sombre dans le noir, état limite, borderline, je flippe, solitude, détresse, princesse, la faucheuse te presse et moi je suis là, spectateur du combat, hors du ring, ça rend dingue,  pas de débat, c est contre un ouragan que je me bat, je pense à  toi rien qu' à  toi, perdre tes yeux je le supporterai pas, j en tremble, un plus un , ensemble, ce tsunami vas éteindre ton cœur en même temps que le mien lady, rime posé, tristesse cadencé, c est pour toi chérie que je viens tout poser.


Je ne parle plus trop, j ai perdus les mots,


Depuis, toi tout vas mal, mais j ai fait comme ci, c etais normal,


Je suis pas détachée et j aurais beau essayer, le cœur a ces raisons, que j' ignore et sans toi c'est mort,


Les nuits, je vais, je viens et je te vois partout, j'ai beau penser à toi, tu manque au rendez-vous,


Les nuits, je rêvent de nous, je reste dans le flou,


Et je garde nos souvenirs.


Je rêvais de construire, nos délire, nos rêves ,pirent, tout ces moments de partage mais le destin me mets la rage, je te vois mais ne peut t' atteindre, je n' ais que mes mots pour te dépeindre, étreindre ce qu il reste de temps, ce qu il reste de nous, le flou m' habite, je cohabite avec le pire, la douleur, ton sourire et la peur de l'après, les souvenirs s' entrechoque plus rien ne me semble vrais, la vie ce joue de nous, j'ai besoin de toi, tu es mon oxygène, je pourrais pas, t' es ma vie celle que j'ai toujours cherché, mon diamant ma vérité, je suis clouée au sol, ligoté je ne peu rien faire, je ne peu rien dire, je voulais qu'on devienne trois mais je ne suis pas roi, même si j aurais fait de toi ma reine, je saigne, hémophile, jusque dans le cœur, où est l'erreur.


Ton amour me blesse, mon coeur je délaisse,


En silence j' encaisse, malgré ça je reste,


Et dis moi pourquoi, sans toi je ne suis plus moi, sans toi ça ne vas pas et sans toi, je suis plus la même, je suis plus la même 


Envahie par la peine, je t ai dans les veines, tu comprends pas, tu le vois pas et dis moi quoi faire, dis moi quoi faire 


William allias HILL partie chanté elbazsophia

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12 avril 2020

Ma maladie la mélodie

Je n écris plus, feuille blanche immaculée, paralysé devant le papier, mon stylo pose l encre, encré , je me détache, j'ai trop phrasé le passé, pour revendiquer, je n ai pas toujours choisi les bons mots, la bonne émotion, panne de frissons, guerre d' égaux, perte d horizon, mon auréson, scellé au sceau de ma raison, je dévie ma vie, sans vie, sévi, sévices, pas besoin d' égaliser, j'ai mué, l immuable ,détruit les murs qui me retenaient, je suis près a vivre où à mourir, une fin ou un départ, sablier, je t entend, je te vois, je te fuis, oublié ,je peu pas ,je le dis, je suis moi, oui avec tout ça, tu prends, tu prends pas, t' accepte, t' accepte pas, mais ça fait partis de moi, de ce qui ma forgée, de ce qui coule en moi, ce qui fait ce que je fais, défait ce que je défais, je suis pas différant mais je revendique, je suis pas unique, mais ma rythmique accentuera toujours le mé de mélodique, tic tac, mécanique, mécanismes, séismes émotionnels, xl quand je me révèle, excelle en rime, cisèle, poète graveur, tailleur de mélodie, ma maladie après clef de sol je m étale et ça je le dis, ma maladie la mélodie.....
William allias HILL 

12 avril 2020

Ce ne sont pas mes mots mais je vous les partagent merci leeloo

J'pose ces putains de mots

Ils seront pleins de défauts

Mais ne manqueront pas de sincérité

Celle qui vient du cœur,

Celle qui apaise les peurs, 

Celle qui quand elle sort,

Soulage l'âme de c'qui mène à la mort, 

Pas intéressée d'apprendre à tricher, 

J'ai choisi de vivre dans l'authenticité, 

De combattre avec la vérité, 

J'ai refusé d'être la femme d'un soir, 

Préférant être celle qui vit une histoire, 

Qui se construit pierre par pierre, 

Tout en ne refusant pas la guêpière, 

J'ai longtemps rêvé au prince charmant, 

Mais l'homme ne veux être qu'un amant, 

Aladdin, Eric, Phillipe, Henry ou Ferdinand, 

Je réalise qu'ils ne sont que des animés,

Mes espoirs sont alors bien abîmés, 

Plus proche de Jasmine que d'Aurore, 

Forte, indépendante, jugée solide, 

Je suis aussi fragile, mais j'fais des efforts, 

N'ayant pas peur d'être au volant d'un bolide, 

Qui atteint 100km/heure en 3 seconde, 

J'ai pas le temperament d'une vagabonde, 

Par contre la version de moi que tu auras, 

Dépend d'celle que tu m'donneras d'toi, 

Tout c'que j'ai fait et vécu, j'assume, 

Du moins j'essaie, en retirant l'écume, 

Regarder vers l'avenir celui de ma fille, 

Mais aussi le mien et celui de Hill.. leeloo

9 avril 2020

Il est la sablier

Quant au delà des marques, le temps passe abîme, là où ciel rejoint la lune, les brumes rosées froissent l'écume, il passe, s'égraine, traître de nos croyances, il emporte avec lui, le sourire de temps d'autres, les soupirs immaculés, de ceux pour qui la vie n'étaitqu'un bout d'essai, tous différents fassent à l'avenir, pourtant tous soumis aux mêmes lois, la même trotteuse qui ne ralentit pas, aux amours passées, dont je foule le cimetière où les tombes ont un cœur et certaines cris l'espoir, aux désillusions, des envies de naguère, qui n'ont d'autre solution;Qu'étouffer leur sanglot, je chuchote aux regrets, qui nous bouffent la vie, il est le sablier, immuable tempo, immuable seconde, qui nous frappe la peau? Quant audelà des marques, le temps passe abîme, làoù ciel rejoint la lune, les brumes roséesfroissent l'écume, il passe, s'égraine, traître de nos croyances, il emporte avec lui, le sourire de temps d'autres, les soupirs immaculés, de ceux pour qui la vie n'était qu'un bout d'essai, tous différents fassent à l'avenir, pourtant tous soumis aux mêmes lois, la même trotteuse qui ne ralentit pas, aux amours passées, dont je foule le cimetière oùles tombes ont un cœur et certaines cris l'espoir, aux désillusions, des envies de naguère, qui n'ont d'autre solution, Qu'étouffer leur sanglot, je chuchote aux regrets, qui nous bouffent la vie, il est la sablier, immuable tempo, immuable seconde, qui nous frappe la peau..... HILL 

9 avril 2020

Combat partagé

Injustice vagabonde qui les venuse me frapper, sans un bruit sans prévenir tu es venue m'abîmer, j'étais debout tu m'as mis à terre au fil du temps changé ma vie, du rêve au cauchemar, je suis passé, dans leur regard j'ai disparu, sur le côté, mis à la rue, privé de liberté esclave de meau que je ne comprenais pas et ce pour quoi moi qui résonnais, pour ça, pourquoi c'est vrai, abonné à la souffrance, au regard, la différence, le mépris, l'indifférence, juste l'homme comme référence, qui fuit ce qu'il ne peut comprendre; incapable d'apprendreou même juste d'attendre, alors le combat est solitaire normal t'est seul face à elle vas-t-elle vraiment te mettre à taire ou tu vas lui montrer que tu es xl, je suis de ceux qui persévèrent et ne baisse pas les bras, je vous comprends et dans ces verres on mène le même combat ici...

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9 avril 2020

Tournent les pages

Passe la vie, tournent les pages dis moi qui peu dire à quand la fin du voyage, des yeux se ferment, des poults se taisent, un dernier souffle, un dernier spasme, une dernière danse, noir est sa robe, sombre est son dessin alors délivrance ou triste romance incertain est l avenir, on se consume, on nous consomme, je connais pas le pire ,mais souvent je me réveille en sueur à toucher mes potes qui n on plus d avenir, alors a tous ceux qui sont partis, je vous dédie ce couplet et si j épelle tristesse aussi facilement, c est que sa vas trop vite et mes mots sont mes calment, rap hémorragique, hémophile et spasmodique, moi je n ai que ma plume pour vous rendre hommage alors je le fait et toujours sans excès, ce rap est pour vous et il rime avec toujours ,il rime avec amour ,car la main sur le cœur et oui je le répète ce rap est pour.... vous et je n ai que mes mots pour..... tout HILL.

9 avril 2020

Trop de poussière

Et si l infime c est partir de la poussière, au début de rien ,au début du tout, si de l etre ,il ne reste que les dessins ,d un destin qui ce joue de nous, si nos phantomes sont immobiles, indélébiles traces des passés ,la où tout ce rejoint ,la où tout ce mélange ,à qui le bien à qui le mal ,s'etale les ombres ,sombre noce à l éternel stelle atrophié ,de nos idées qui ce sont tue ,à jamais des égarés, nombre perdu, écrire pour que sa perdure ,que ce transmette, loin des ratures ,loin des bavures ,un petit espoir, un futur ,il parais que rever ,c est combattre ,qu immaginer ,c est ce battre, qu on n arrete pas une pensée, qu elle ce partage, ce transmet et grossis, alors cœur agités trouvent un emblème et dans ces flammes on ne récolte que ce que l on sèment.....HILL

9 avril 2020

Résonne

Résonne, résonne, résonne ,à contre sens, émotion d une errance, sensation d inconstance, détachement, la souffrance à dejas tari l espoir, du noir, encore du noir, à pointer le ciel viens là pluie, s entremele au mépris et que dire de la vie, si coupable, si louable, tellement innée à trop soufflé ce lève tempete ,déraciné, chaine poing lié ,ne pas plier toujours lutter et s abimé, choque après choque la vérité, toujours s user, cadence vestige étoilé ,du lointain pourtant si près ,de l apres pourtant si loin, et qui porte nos actes, qui sais dire avec tacte ,ce que crie le coeur a l impact ,ce que disent nos sœur et quel pacte ,pourrais calmer tout sa faire de la folie ,un mode, un débat, une vertus, un éclat.....HILL

9 avril 2020

Je n'ai pas les mots

Je n aurais ,jamais les mots, pour me mettre au niveau, de ceux qui m écoutent ,me reÇoivent ,lève le voile dans mes démos, ceux qui m apprennent me comprennent, ceux qui ce posent écoute et réfléchisse ceux qui me propagent empechent que je fléchisse, ceux pour qui j ecris, je dis, je lache ,ceux qui me renvoient cash ,l illusion ou l emotion ,ceux pour qui j arrache, phases après phases , phrases après phrases, ceux que je considère comme la famille, quand je brille, grave mon cœur sur le sillon, le disque tourne ma partition, c est pour eux que je narre et que j écris, pour eux que je revendique ce que je dis, que je m engage, que je partage, que je me blesse, pour eux que je suis et que je resterais, un acteur, ma scène le rap franÇais........HILL

9 avril 2020

Toi

J ai pourtant l habitude, de froissé la feuille,laisser les mots s exprimer, mais pour te décrire je n arrive pas a trouver, la bonne résonnance, la cadence qui te donne vie, celle qui pourrait te dire ce que tu as éveiller en moi, tu es douceur, tu es charisme, tu es le charme, tu es mon prisme, cette étoile qui dans le ciel brille plus que les autres, ces lèvres que j effleure car je n en veux pas d autre, tu a refait battre mon cour, m as redonné l envie, l envie de construire, l envie de fonder, l envie d un avenir, d un avenir avec toi, toi je t ai cherché et depuis trop longtemps, je ne veux pas nous gacher alors je rime au présent.... Je te vois sans te voir, je te veux sans te vouloir, mon coeur seigne encore d un passé ou dépassé les hommes m ont mis en miette jusqu'à tuer l envie, briser l amour, je ne sais pas si je suis encore capable, capable de me donner, de m abandonner capable de réciter le verbe aimer, trop de larme, trop de mots, trop de faux trop de déception, je vois que tu m aime mais la peur dis non....HILL 

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Tellement de larmes sur le bitume
  • Recueil de textes poétiques, engagé, dénonciateur, réaliste, mes mots viennent de la musique du rap et du slam, je suis william allias HILL, je voudrais m excuser au près des puristes pour l orthographe je promet de corriger ça bientôt
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